Un nouveau potentiel pour l’Auberge de la Caillère

Le Chef Éric Rialland dans la cuisine de l’Auberge de la Caillère
Le Chef Éric Rialland dans la cuisine de l’Auberge de la Caillère

Après 15 mois de fermeture, l’Auberge de la Caillère située à Candé-sur-Beuvron a réouvert ses portes. L’esprit aubergiste perdure dans ce lieu qui regroupe maintenant un hôtel, un restaurant gastronomique et un bistrot. C’est le même concept qu’auparavant, mais en deux fois plus grand. Le charme et l’authenticité sont toujours au rendez-vous !

Aurélie et Éric Rialland, les propriétaires, ont eu cette idée un peu folle pendant le deuxième confinement. Aujourd’hui, l’hôtel-restaurant est totalement métamorphosé (90 % de l’établissement refait), un sentiment d’espace et de simplicité règne, le décor est sobre et élégant, les tonalités sont naturelles et les matériaux chaleureux. « Nous avons doublé nos capacités, mais notre volonté est de garder notre esprit convivial et simple. C’est une pause à la campagne que nous proposons », précise Éric Rialland.

Ils ont investi à Candé-sur-Beuvron, dans ce lieu, en 2013. À 25 ans, ce breton a posé ses valises dans la région de sa femme. Dix ans plus tard, et avec un investissement de 5 millions d’euros, ils sont à la tête d’un hôtel 4 étoiles de 30 chambres, un restaurant gastronomique de 35 couverts et nouveauté, un bistrot de 50 couverts. Ce bistrot, ouvert 7 jours sur 7, répond à la demande de la clientèle de l’hôtel. Une carte simple en circuit court et produits de saison avec un menu entrée/plat/dessert à 34 € et une somptueuse terrasse dans un environnement de verdure qui pourrait séduire rapidement les locaux. Aux commandes, le chef Éric Rialland qui a organisé dans les 170 m² de cuisine flambant neuve, deux espaces distincts où il gère avec les 3 sous-chefs, les mets pour les deux restaurants.

Une belle équipe

Lorsque le chef croise un jeune apprenti cuisinier en pause, le ton est sympathique, l’échange est à la blague, un respect mutuel se dégage. C’est certainement cette proximité qui explique le très peu de turn-over dans son équipe de 25 personnes (cuisine et salle)  « Nous n’avons pas de difficulté de recrutement. Nous proposons des contrats intéressants, sans coupure, avec deux jours de congés consécutifs et un travail en binôme », confirme Éric.

Dans sa lancée, le couple vient d’acheter douze hectares de champs et de forêt derrière le parking ainsi que la ferme voisine. Nouveau projet ? À suivre…

www.auberge-de-la-caillere.com

Sophie Manuel

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