CPME, dire les choses comme elles sont

De gauche à droite, les participants de la table ronde : Constant Porcher (groupe SIM, pdt de la CPME du Loiret), Frédéric Oury (directeur de l’agence AEB de Blois), Laurent Kopp (pdt de la CPME du Loir-et-Cher), Sophie Lloret (psychologue du travail), Yves Rousset, préfet honoraire, ancien préfet de Loir-et-Cher, Karine Gourault (directrice de l’agence d’attractivité du Loir-et-Cher).
De gauche à droite, les participants de la table ronde : Constant Porcher (groupe SIM, pdt de la CPME du Loiret), Frédéric Oury (directeur de l’agence AEB de Blois), Laurent Kopp (pdt de la CPME du Loir-et-Cher), Sophie Lloret (psychologue du travail), Yves Rousset, préfet honoraire, ancien préfet de Loir-et-Cher, Karine Gourault (directrice de l’agence d’attractivité du Loir-et-Cher).

 

Le préfet honoraire Yves Rousset, était l’invité d’honneur de la soirée de fin d’année de la CPME, fin décembre. Homme politique, engagé et humaniste, il a rappelé la nécessité pour chacun d’être cohérent et clair pour mener la destinée d’une entreprise.

 

Mi-décembre s’est tenue la soirée de fin d’année de la CPME du Loir-et-Cher. Une façon de clore une année jugée unanimement difficile par les chefs d’entreprises, et de se projeter vers une nouvelle échéance. Pour l’occasion, l’ancien préfet de Loir-et-Cher, Yves Rousset, était invité à la tribune. Il y a évoqué ses années passées au service de l’État, mais aussi celles consacrées, dans une première vie, à l’éducation des jeunes et au syndicalisme social. La soirée posait la question de la « valeur travail », et de la façon dont les dirigeants pouvaient la transmettre à leurs salariés. Sujet difficile, à la frontière de la philosophie. « C’est toujours une question de cohérence et de clarté, explique Yves Rousset. Il faut dire les choses comme elles sont, et pour cela être courageux ». Enfin, le préfet honoraire rappelait une valeur chère à la CPME, la « fierté d’appartenance ».

 

Une présidence à renouveler

Cette soirée CPME, organisée dans l’amphithéâtre du Conseil départemental, était légitimement présidée par Laurent Kopp, qui a annoncé son souhait de ne pas renouveler son engagement à la tête de l’organisation patronale le 28 février prochain. « J’entrevois de grosses échéances dans le développement des deux entreprises dont je suis le gérant. Je dois bien sûr m’y consacrer pleinement. Pour autant, ajoute Laurent Kopp, j’ai passé trois années passionnantes au service de la CPME. Avec des entreprises que je sais agiles et résilientes, et qui sont donc armées pour affronter l’année qui s’ouvre ».

Pas de successeur annoncé, mais des remerciements appuyés aux collaborateurs et élus qui ont eux aussi travaillé à l’accompagnement des entreprises adhérentes dans les turbulences passées.

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