Chez Rock The Talk, on n’étudie pas la langue, on la vit !

Dora, la fondatrice de Rock The Talk devant l’antenne tourangelle

À la direction d’une école de langues pas comme les autres à Montrichard (41), sa pétillante fondatrice, Dora Vinerier-Boc, nous explique tout à l’occasion de l’ouverture de sa nouvelle antenne à Tours.

Originaire de Transylvanie et se revendiquant comme « Maman avant tout, quadrilingue, diplômée de l’Enseignement Supérieur et passionnée par les Neurosciences », Dora Vinerier-Boc est la fondatrice de Rock The Talk. Elle évoque ce lien indissociable entre l’apprentissage et le mouvement, entre l’expérience, le jeu, mais aussi l’échange : « Nous apprenons en faisant, en expérimentant. Et puisque nous sommes des êtres sociaux, nous apprenons mieux en groupe. Les études neuroscientifiques ne cessent de le mettre en évidence. » CQFD. Ainsi est née Rock The Talk, une école où l’anglais et/ou l’espagnol s’apprennent au gré d’ateliers indoor ou outdoor, de rencontres et d’expériences. « Chez nous, les fêtes comme Thanksgiving, Halloween, Christmas, il ne suffit pas de les expliquer aux élèves, il faut les leur faire vivre ! », s’enthousiasme Dora. La fondatrice met à mal les clichés et rassure les adultes « qui apprennent d’ailleurs souvent plus vite que les enfants car ils ont un besoin et une motivation plus forts ». L’apprentissage des langues ne nécessite pas d’avoir un don inné pour les langues, de vivre dans le pays pour apprendre, d’être jeune ou de commencer d’abord par la grammaire.

Let’s go !

Installée à Tours au 177, Boulevard Jean Royer, dans une maison décorée avec goût et vue sur le parc arboré de la place de Strasbourg, Dora et son équipe accueillent les élèves (maximum 8 par groupe) de 6 à 110 ans. Les horaires sont d’ailleurs conçus pour que les parents puissent venir s’ils le souhaitent avec leurs enfants. À la question « Et au fait, d’où vient le nom Rock The Talk ? », la fondatrice évoque une expérience. « Je faisais un jogging tout en réfléchissant au nom de mon projet. Les mots « the talk » devaient y figurer pour sûr. Et puis je me suis cognée contre une pierre qui en anglais se prononce rock. « Rock The Talk » voilà qui sonne bien me suis-je dit ! » L’expérience des langues se vit donc jusqu’au bout pour une école décidément pas comme les autres.

Informations : rockthetalk.fr

Camille Colloch

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