[Publi-Information]
BGE est un acteur incontournable de la création d’entreprise. Outre l’accompagnement dans tout ce que la création d’une entreprise peut comporter d’administratif, BGE va s’occuper de transformer un porteur de projet en… entrepreneur !
Il y a un fossé entre une idée d’entreprise et l’entreprise elle-même… Mais la distance entre les deux peut être réduite grâce à l’action de BGE (anciennement Boutique de gestion) qui travaille sur deux axes : la structuration du projet et la montée en compétence du jeune chef d’entreprise. « Avoir rédigé un business plan, c’est bien, mais ça ne suffit pas pour minimiser les risques quand on crée son entreprise, déclare Paloma Van Hille, directrice des BGE de l’Eure-et-Loir, du Loir-et-Cher et du Loiret. Exercer le métier de chef d’entreprise, c’est être tout à la fois commercial, prévisionniste, financier, juriste, fiscaliste… C’est pour cela que chez BGE, nous sommes attentifs à la fois au projet et à la personne. C’est notre marque de fabrique ! » Ainsi, si BGE accompagne le porteur de projet dans le montage de son dossier par la réalisation de business plan, elle place au coeur de ses préoccupations les compétences entrepreneuriales, un élément clé de la réussite d’un projet, et permet à chacun de se projeter “entrepreneur”. « Créer une entreprise n’est pas réservé à une élite, revendique Paloma Van Hille. Tout le monde est légitime à envisager ce projet ! Nous intervenons auprès des collégiens, des habitants des quartiers prioritaires, en milieu rural… Nous souhaitons démocratiser au maximum l’acte d’entreprendre, permettre à chacun d’explorer la piste entrepreneuriale. »
Accompagnement individuel à la carte, formations, participation à des événements pour optimiser le développement de son réseau, rencontres avec des experts pour permettre la montée en compétence… BGE ne laisse rien au hasard quand il s’agit que le jeune chef d’entreprise mette toutes les chances de son côté !
60 % des personnes accueillies ont entre 26 et 45 ans. « Nous accueillons beaucoup de quadragénaires en reconversion. Mais 15 % ont moins de 26 ans, un pourcentage en augmentation depuis dix ans. On crée désormais de plus en plus tout de suite après ses études. Les jeunes croient moins au salariat durable. Une vraie tendance de fond ! »
90 % du public reçu sont des demandeurs d’emploi, dont certains rencontrent des difficultés durables d’insertion dans l’emploi. Certaines personnes viennent par ailleurs développer une double activité, un nouveau métier par le biais duquel ils vont davantage s’épanouir et/ou compléter leurs revenus.
BGE Touraine, au service des entreprises depuis 25 ans
Rencontre avec Didier Falquet, le responsable territorial de l’antenne tourangelle.
Que ce soit auprès de salariés ou de demandeurs d’emploi, auprès d’étudiants ou d’habitants des quartiers prioritaires ou situés en zone rurale, BGE Touraine intervient auprès de tous les publics, avec pour objectif de « permettre à chacun d’explorer la piste entrepreneuriale », comme l’explique Didier Falquet. Sur site dans les locaux de Saint-Avertin, mais aussi sur les lieux de permanence hebdomadaire à Loches, Amboise et dans le Chinonais, une équipe expérimentée accompagne ceux qui le souhaitent dans le montage de leur projet ainsi que dans son développement une fois l’entreprise créée. Une chargée de mission itinérante stationne même 3 à 4 jours par semaine dans les différentes communes du département à bord du « Bus de la création d’entreprise », un véhicule ouvert à tous et destiné à faire germer des projets ou à susciter la curiosité. Si le concept est « une vraie réussite » selon le responsable territorial, il ne représente que la partie visible de l’iceberg : dans les faits, beaucoup de futurs entrepreneurs sont envoyés par les acteurs locaux, les collectivités publiques, ou viennent d’eux-même dans une démarche personnelle.
Épauler durablement, mode d’emploi
« Il y a un fossé entre une idée d’entreprise, et l’entreprise elle-même », précise Didier Falquet, ajoutant que la distance entre les deux peut être réduite grâce à l’action de BGE qui travaille sur deux axes : la structuration du projet et la montée en compétence du jeune chef d’entreprise. En effet, une fois pris en charge, les porteurs de projet peuvent bénéficier de formations afin de développer de nouvelles compétences, mais aussi s’appuyer sur l’expertise du réseau de partenaires de BGE Touraine pour mener à bien les différentes étapes de leur création ou reprise d’entreprise. « Qu’il s’agisse d’affiner une idée, de produire une étude de marché, de guider votre business plan ou de mettre en place de outils de gestion, nous répondons présents aux côtés des entrepreneurs », rassure Didier Falquet. Et en ce qui concerne la pédagogie, le responsable territorial est clair : pas question de faire « à la place de »… Le but étant que chaque accompagné puisse mener sa barque de manière autonome une fois son idée concrétisée. Vous savez à quelle porte frapper si vous avez le commencement d’une idée !
BGE en chiffres
En 2019, en région Centre-Val de Loire, sur 8 000 personnes accueillies par BGE, 1 600 (dont 59 % de femmes) ont créé leur entreprise, dont 50 % sous statut micro, 35 % en société et 15 % en entreprise individuelle.
2100 personnes ont en outre bénéficié de formations entrepreneuriales sur l’année, dont certaines sont certifiantes.
1 100 entrepreneurs ont été ensuite accompagnés en phase de démarrage d’activité et pour une durée maximale de trois ans après l’immatriculation de leur société.
Le taux moyen de pérennité des TPE accompagnées par BGE s’établit, trois ans après l’immatriculation, à 77 %.